Intelligence artificielle : la France espère lever 2,5 milliards d'euros "au service de l'intérêt général"

A deux semaines de l'ouverture du sommet mondial dédié à l'IA, le gouvernement souhaite financer une fondation qui aura pour mission de rendre les données d'intérêt général librement accessibles aux chercheurs.Lever 2,5 milliards d'euros sur cinq ans. Telle est l'ambition du gouvernement qui souhaite financer une fondation qui aura pour mission de mettre l'intelligence artificielle "au service de l'intérêt général". Dans un entretien accordé à La Tribune Dimanche, l'envoyée spéciale du président de la République pour l’IA Anne Bouverot précise que cette fondation viserait un objectif quasi philanthropique : "elle permettrait de rassembler des données d'intérêt général, sur la santé par exemple. L'idée est de créer un cadre de confiance pour rassembler ces données, qui seraient librement accessibles aux chercheurs et vendus à un prix modique aux start-up. Elles seraient payantes pour les acteurs privés".[...] Lire la suite de cet article sur Archimag.com

Intelligence artificielle : la France espère lever 2,5 milliards d'euros "au service de l'intérêt général"
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    A deux semaines de l'ouverture du sommet mondial dédié à l'IA, le gouvernement souhaite financer une fondation qui aura pour mission de rendre les données d'intérêt général librement accessibles aux chercheurs.

    Lever 2,5 milliards d'euros sur cinq ans. Telle est l'ambition du gouvernement qui souhaite financer une fondation qui aura pour mission de mettre l'intelligence artificielle "au service de l'intérêt général". Dans un entretien accordé à La Tribune Dimanche, l'envoyée spéciale du président de la République pour l’IA Anne Bouverot précise que cette fondation viserait un objectif quasi philanthropique : "elle permettrait de rassembler des données d'intérêt général, sur la santé par exemple. L'idée est de créer un cadre de confiance pour rassembler ces données, qui seraient librement accessibles aux chercheurs et vendus à un prix modique aux start-up. Elles seraient payantes pour les acteurs privés".[...] Lire la suite de cet article sur Archimag.com