L’eau douce, enjeu caché du boom des intelligences artificielles

ARTICLE À ÉCOUTER. Une étude souligne l’envolée des besoins d’eau engendrée par le refroidissement des serveurs dédiés à l’IA. Leur consommation pourrait dépasser 3,2 milliards de m³ par an en 2028, l’équivalent d’une fois et demie l’eau consommée en Suisse«Il n’y a pas encore de pression sur la disponibilité de l’eau près des data centers, mais il va falloir suivre cela de près.» C’est ainsi que Shaolei Ren, de l’Université de Californie à Riverside résume l’étude dont il est le principal auteur, et qui vient d’être acceptée par Communications of the ACM, une prestigieuse revue de science informatique. Elle est déjà disponible sur le site Arxiv. Ces travaux prédisent qu’en 2027, les prélèvements en eau liés à l’intelligence artificielle pourraient atteindre 7 milliards de m³, l’équivalent de six fois ceux du Danemark ou de la moitié de la Grande-Bretagne.Ecoutez cet article lu par une IA – Pour en savoir plus:Voir plus

L’eau douce, enjeu caché du boom des intelligences artificielles

ARTICLE À ÉCOUTER. Une étude souligne l’envolée des besoins d’eau engendrée par le refroidissement des serveurs dédiés à l’IA. Leur consommation pourrait dépasser 3,2 milliards de m³ par an en 2028, l’équivalent d’une fois et demie l’eau consommée en Suisse

«Il n’y a pas encore de pression sur la disponibilité de l’eau près des data centers, mais il va falloir suivre cela de près.» C’est ainsi que Shaolei Ren, de l’Université de Californie à Riverside résume l’étude dont il est le principal auteur, et qui vient d’être acceptée par Communications of the ACM, une prestigieuse revue de science informatique. Elle est déjà disponible sur le site Arxiv. Ces travaux prédisent qu’en 2027, les prélèvements en eau liés à l’intelligence artificielle pourraient atteindre 7 milliards de m³, l’équivalent de six fois ceux du Danemark ou de la moitié de la Grande-Bretagne.

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