Sur les réseaux sociaux, l’entreprise genevoise Proton accusée de soutenir Donald Trump

Un message publié en décembre par le cofondateur de la société, Andy Yen, sur la plateforme X a enflammé les esprits. Le propos était pourtant correct sur le fond, estime un spécialisteC’est une déclaration qui ne passe pas. L’entreprise genevoise Proton est la cible de nombreuses critiques sur les réseaux sociaux depuis que son directeur, Andy Yen, s’est fendu le 4 décembre 2024 d’un message sur X. Dans ce dernier, il félicite Donald Trump d’avoir nommé l’avocate Gail Slater à la tête de la division antitrust du Département américain de la justice. Mais c’est surtout la suite de sa déclaration qui a suscité la colère de certains internautes.«Il y a 10 ans, les républicains étaient le parti des grandes entreprises et les démocrates représentaient les petites gens, mais aujourd’hui les rôles sont complètement inversés, a écrit Andy Yen. Les gens oublient que les actions antitrusts actuelles contre les grandes entreprises technologiques ont été lancées sous la première administration Trump.»Voir plus

Sur les réseaux sociaux, l’entreprise genevoise Proton accusée de soutenir Donald Trump

Un message publié en décembre par le cofondateur de la société, Andy Yen, sur la plateforme X a enflammé les esprits. Le propos était pourtant correct sur le fond, estime un spécialiste

C’est une déclaration qui ne passe pas. L’entreprise genevoise Proton est la cible de nombreuses critiques sur les réseaux sociaux depuis que son directeur, Andy Yen, s’est fendu le 4 décembre 2024 d’un message sur X. Dans ce dernier, il félicite Donald Trump d’avoir nommé l’avocate Gail Slater à la tête de la division antitrust du Département américain de la justice. Mais c’est surtout la suite de sa déclaration qui a suscité la colère de certains internautes.

«Il y a 10 ans, les républicains étaient le parti des grandes entreprises et les démocrates représentaient les petites gens, mais aujourd’hui les rôles sont complètement inversés, a écrit Andy Yen. Les gens oublient que les actions antitrusts actuelles contre les grandes entreprises technologiques ont été lancées sous la première administration Trump.»Voir plus