Corée du Sud: la législation à la traîne face à un harcèlement sexuel en ligne massif contre les femmes
Corée du Sud: la législation à la traîne face à un harcèlement sexuel en ligne massif contre les femmes
En Corée du Sud, la découverte de groupes privés Telegram révèle l'ampleur des cas de harcèlement sexuel en ligne dont les femmes sont les premières victimes. Des groupes féministes coréens ont révélé l'existence de salons de discussion privés où plus de 200 000 hommes échangeraient des photos et vidéos de femmes prises sans leur consentement ou même modifiées par intelligence artificielle pour en faire des vidéos pornographiques. Un énième scandale de la sorte après celui du salon de discussion similaire « Nth room », en 2018 et 2020, qui révèle une forme de banalité des violences sexuelles dans la société sud-coréenne.
En Corée du Sud, la découverte de groupes privés Telegram révèle l'ampleur des cas de harcèlement sexuel en ligne dont les femmes sont les premières victimes. Des groupes féministes coréens ont révélé l'existence de salons de discussion privés où plus de 200 000 hommes échangeraient des photos et vidéos de femmes prises sans leur consentement ou même modifiées par intelligence artificielle pour en faire des vidéos pornographiques. Un énième scandale de la sorte après celui du salon de discussion similaire « Nth room », en 2018 et 2020, qui révèle une forme de banalité des violences sexuelles dans la société sud-coréenne.
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