Dark data : ne pas les gérer constitue un risque majeur !

Toutes les entreprises se retrouvent un jour ou l’autre confrontées à ce problème : celui du vrac numérique et des dark data. Á savoir, tous ces fichiers, données et documents hétérogènes, organisés de manière anarchique, dont personne ne connaît la teneur exacte. S’emparer de ce problème, c'est s’éviter bien des déboires. D’autant que les données d'entreprises sont désormais la proie des cybercriminels et représentent un enjeu majeur de la cybersécurité. Explications. Doublons, triplons, fichiers périmés ou au nommage approximatif, versions redondantes, brouillons, pièces jointes de mail, etc., ces fléaux sont aujourd’hui parfaitement identifiés par les entreprises. Les causes, elles aussi, sont bien connues : des systèmes informatiques organisés en silos, des applications dispersées sur lesquelles les collaborateurs produisent, stockent et partagent leurs documents de travail, et surtout l’absence de gouvernance de l’information.[...] Lire la suite de cet article sur Archimag.com

Dark data : ne pas les gérer constitue un risque majeur !
  • Un homme devant un mur d'écran
    Toutes les entreprises se retrouvent un jour ou l’autre confrontées à ce problème : celui du vrac numérique et des dark data. Á savoir, tous ces fichiers, données et documents hétérogènes, organisés de manière anarchique, dont personne ne connaît la teneur exacte. S’emparer de ce problème, c'est s’éviter bien des déboires. D’autant que les données d'entreprises sont désormais la proie des cybercriminels et représentent un enjeu majeur de la cybersécurité. Explications. 

    Doublons, triplons, fichiers périmés ou au nommage approximatif, versions redondantes, brouillons, pièces jointes de mail, etc., ces fléaux sont aujourd’hui parfaitement identifiés par les entreprises. Les causes, elles aussi, sont bien connues : des systèmes informatiques organisés en silos, des applications dispersées sur lesquelles les collaborateurs produisent, stockent et partagent leurs documents de travail, et surtout l’absence de gouvernance de l’information.[...] Lire la suite de cet article sur Archimag.com