La fondation NetBSD ne veut pas de code généré par l'intelligence artificielle

Le vendredi après-midi, il est permis de lancer un petit troll... Allons-y donc. Alors que l'intelligence est omniprésente au point de nous abrutir, et de nuire à l'environnement, alors que Sundar Pinchai dans sa keynote d'ouverture de Google I/O a mentionné l'intelligence artificielle 120 fois en vantant les mérites de Gemini, nous apprécions les nouvelles directives de validation de code de la fondation NetBSD.La fondation NetBSD a publié de nouvelles directives vraiment pleines de bon sens. Ne publier dans un référentiel que du code connu, que du code testé, que du code qui ne vient pas d'arborescences étrangères…Nous apprécions particulièrement la seconde directive du document :Ne validez pas de code corrompu dans le référentiel.Si vous validez du code qui n'a pas été écrit par vous-même, vérifiez que la licence de ce code autorise l'importation dans le référentiel source NetBSD et autorise la distribution gratuite. Vérifiez auprès du ou des auteurs du code, assurez-vous qu'ils étaient le seul auteur du code et vérifiez avec eux qu'ils n'ont copié aucun autre code.Le code généré par un grand modèle de langage ou une technologie similaire, tel que Copilot de GitHub/Microsoft, ChatGPT d'OpenAI ou Code Llama de Facebook/Meta, est présumé être du code corrompu et ne doit pas être validé sans l'approbation écrite préalable de la fondation.Un peu de finesse et d'intelligence humaine dans un monde de brutes et de folie collective :-)NetBSD, utilisé par exemple dans des projet de la NASA, est un système de type UNIX réputé être extrêmement solide, fiable, stable et performant. On voit ici un peu plus pourquoi :-)Catégorie actualité: TechnologiesNetBSD, intelligence artificielleImage actualité AMP: 

La fondation NetBSD ne veut pas de code généré par l'intelligence artificielle

Le vendredi après-midi, il est permis de lancer un petit troll... Allons-y donc. Alors que l'intelligence est omniprésente au point de nous abrutir, et de nuire à l'environnement, alors que Sundar Pinchai dans sa keynote d'ouverture de Google I/O a mentionné l'intelligence artificielle 120 fois en vantant les mérites de Gemini, nous apprécions les nouvelles directives de validation de code de la fondation NetBSD.

La fondation NetBSD a publié de nouvelles directives vraiment pleines de bon sens. Ne publier dans un référentiel que du code connu, que du code testé, que du code qui ne vient pas d'arborescences étrangères…

Nous apprécions particulièrement la seconde directive du document :

Ne validez pas de code corrompu dans le référentiel.

Si vous validez du code qui n'a pas été écrit par vous-même, vérifiez que la licence de ce code autorise l'importation dans le référentiel source NetBSD et autorise la distribution gratuite. Vérifiez auprès du ou des auteurs du code, assurez-vous qu'ils étaient le seul auteur du code et vérifiez avec eux qu'ils n'ont copié aucun autre code.

Le code généré par un grand modèle de langage ou une technologie similaire, tel que Copilot de GitHub/Microsoft, ChatGPT d'OpenAI ou Code Llama de Facebook/Meta, est présumé être du code corrompu et ne doit pas être validé sans l'approbation écrite préalable de la fondation.

Un peu de finesse et d'intelligence humaine dans un monde de brutes et de folie collective :-)

NetBSD, utilisé par exemple dans des projet de la NASA, est un système de type UNIX réputé être extrêmement solide, fiable, stable et performant. On voit ici un peu plus pourquoi :-)

Catégorie actualité: 
Image actualité AMP: