Léviathan, de Paul Auster : chute libre (pavée de bonnes intentions)

C’est un texte d’abîmes. De signes et de vertiges. D’attractions physiques, d’idéaux. En miroir, Paul Auster se dédouble dans Léviathan (éditions Actes Sud, 1993, traduction de Christine Le Bœuf), jette au ciel sa part d’ange et son fond démoniaque : ce qu’il aurait pu être (Benjamin Sachs), ce qu’il est devenu, en fin de compte (Peter Aaron).

Léviathan, de Paul Auster : chute libre (pavée de bonnes intentions)

C’est un texte d’abîmes. De signes et de vertiges. D’attractions physiques, d’idéaux. En miroir, Paul Auster se dédouble dans Léviathan (éditions Actes Sud, 1993, traduction de Christine Le Bœuf), jette au ciel sa part d’ange et son fond démoniaque : ce qu’il aurait pu être (Benjamin Sachs), ce qu’il est devenu, en fin de compte (Peter Aaron).