Philippine, une étudiante de 19 ans de l'université Paris-Dauphine, a été retrouvée morte le samedi 21 septembre dans le bois de Boulogne à Paris. La jeune femme avait disparu la veille alors qu'elle avait quitté le Crous de sa faculté pour se rendre chez ses parents à Montigny-le-Bretonneux (Yvelines).
Un suspect, déjà condamné pour viol et inscrit le jeudi 19 septembre au fichier des personnes recherchées, a été interpellé le mardi 24 septembre en gare de Genève en Suisse. L'homme de 22 ans et de nationalité marocaine, était sous obligation de quitter le territoire français (OQTF) mais la demande de laissez-passer au Maroc, réalisée le 18 juin 2024, n'a pas été émise par le bon service.
Il était entré en France de façon régulière via l'Espagne, avec un visa touristique valable du 13 juin 2019 au 27 juillet 2019, et du fait de sa minorité, il a été pris en charge par l'aide sociale à l'enfance du Val-d'Oise. Peu de temps après son arrivée sur le territoire français, il avait commis un viol sur une étudiante de 23 ans près d'un sentier forestier à Taverny (Val-d'Oise).
Il avait été rapidement identifié par les enquêteurs de la Sûreté départementale du Val-d'Oise grâce à son ADN et interpellé. Après le procès, il avait été condamné à sept ans de prison.
Philippine, une étudiante de 19 ans de l'université Paris-Dauphine, a été retrouvée morte le samedi 21 septembre dans le bois de Boulogne à Paris. La jeune femme avait disparu la veille alors qu'elle avait quitté le Crous de sa faculté pour se rendre chez ses parents à Montigny-le-Bretonneux (Yvelines).
Un suspect, déjà condamné pour viol et inscrit le jeudi 19 septembre au fichier des personnes recherchées, a été interpellé le mardi 24 septembre en gare de Genève en Suisse. L'homme de 22 ans et de nationalité marocaine, était sous obligation de quitter le territoire français (OQTF) mais la demande de laissez-passer au Maroc, réalisée le 18 juin 2024, n'a pas été émise par le bon service.
Il était entré en France de façon régulière via l'Espagne, avec un visa touristique valable du 13 juin 2019 au 27 juillet 2019, et du fait de sa minorité, il a été pris en charge par l'aide sociale à l'enfance du Val-d'Oise. Peu de temps après son arrivée sur le territoire français, il avait commis un viol sur une étudiante de 23 ans près d'un sentier forestier à Taverny (Val-d'Oise).
Il avait été rapidement identifié par les enquêteurs de la Sûreté départementale du Val-d'Oise grâce à son ADN et interpellé. Après le procès, il avait été condamné à sept ans de prison.
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