Dix conseils pour être moins accro à son téléphone

Il n’y a aucune fatalité: il est tout à fait possible de passer moins de temps devant les écrans, en combinant un peu de discipline et des aides techniques. Voici quelques suggestionsNous sommes très nombreux à être esclaves de nos téléphones. C’est ce qu’affirmait mardi dernier Comparis, en publiant les résultats d’un sondage indiquant qu’en Suisse «40% des adultes présentent des signes évidents de dépendance au smartphone». Les plus jeunes, soit la tranche des 16 à 35 ans, seraient les plus touchés, 54% d’entre eux souffrant de nomophobie, soit d’une dépendance pathologique au téléphone.Il existe de nombreuses solutions pour combattre cette addiction. D’abord, intéressons-nous aux plus jeunes. «Pour moi, il s’agit avant tout de travailler sur les compétences psychosociales des jeunes afin, notamment, de leur donner les clés pour utiliser les smartphones de manière «saine», d’apprendre à les utiliser. Il s’agit aussi d’ouvrir la discussion, même si beaucoup de parents ne se sentent pas suffisamment experts. Il n’est pas nécessaire de savoir comment TikTok fonctionne ou même à quoi ça sert pour s’intéresser aux activités de son enfant en ligne et lui demander ce qu’il ou elle fait, voit, aime, etc. Il s’agit de fixer un certain cadre pour l’utilisation du smartphone sans pour autant le diaboliser, et sans se focaliser sur le temps d’écran uniquement», affirme Yara Barrense-Dias, responsable de recherche et experte en santé des jeunes chez Unisanté.Voir plus

Dix conseils pour être moins accro à son téléphone

Il n’y a aucune fatalité: il est tout à fait possible de passer moins de temps devant les écrans, en combinant un peu de discipline et des aides techniques. Voici quelques suggestions

Nous sommes très nombreux à être esclaves de nos téléphones. C’est ce qu’affirmait mardi dernier Comparis, en publiant les résultats d’un sondage indiquant qu’en Suisse «40% des adultes présentent des signes évidents de dépendance au smartphone». Les plus jeunes, soit la tranche des 16 à 35 ans, seraient les plus touchés, 54% d’entre eux souffrant de nomophobie, soit d’une dépendance pathologique au téléphone.

Il existe de nombreuses solutions pour combattre cette addiction. D’abord, intéressons-nous aux plus jeunes. «Pour moi, il s’agit avant tout de travailler sur les compétences psychosociales des jeunes afin, notamment, de leur donner les clés pour utiliser les smartphones de manière «saine», d’apprendre à les utiliser. Il s’agit aussi d’ouvrir la discussion, même si beaucoup de parents ne se sentent pas suffisamment experts. Il n’est pas nécessaire de savoir comment TikTok fonctionne ou même à quoi ça sert pour s’intéresser aux activités de son enfant en ligne et lui demander ce qu’il ou elle fait, voit, aime, etc. Il s’agit de fixer un certain cadre pour l’utilisation du smartphone sans pour autant le diaboliser, et sans se focaliser sur le temps d’écran uniquement», affirme Yara Barrense-Dias, responsable de recherche et experte en santé des jeunes chez Unisanté.Voir plus