Entre intérêt et méfiance, les médias suisses tentent d’apprivoiser l’IA générative

Après avoir été mis sous forte pression par l’arrivée d’internet et des réseaux sociaux, les médias suisses accueillent la déferlante de l’intelligence artificielle avec prudenceLes robots envahissent-ils les rédactions des médias en Suisse? Le récent déploiement d’une intelligence artificielle générative par Blick (propriété de l’éditeur Ringier, auquel Le Temps a appartenu jusqu’en 2020) pourrait le suggérer. Cet assistant, intitulé «Blicky IA», peut aller jusqu’à contribuer à la rédaction d’un article.D’autres médias bien installés ont aussi recours à des logiciels similaires, que ce soit pour produire ou traduire des textes, suggérer des titres, créer des images ou proposer aux lecteurs des fonctionnalités comme la lecture des articles. Si la prudence est de mise, les rédactions s’intéressent de près à ces technologies et mènent de plus en plus d’expérimentations.Voir plus

Entre intérêt et méfiance, les médias suisses tentent d’apprivoiser l’IA générative

Après avoir été mis sous forte pression par l’arrivée d’internet et des réseaux sociaux, les médias suisses accueillent la déferlante de l’intelligence artificielle avec prudence

Les robots envahissent-ils les rédactions des médias en Suisse? Le récent déploiement d’une intelligence artificielle générative par Blick (propriété de l’éditeur Ringier, auquel Le Temps a appartenu jusqu’en 2020) pourrait le suggérer. Cet assistant, intitulé «Blicky IA», peut aller jusqu’à contribuer à la rédaction d’un article.

D’autres médias bien installés ont aussi recours à des logiciels similaires, que ce soit pour produire ou traduire des textes, suggérer des titres, créer des images ou proposer aux lecteurs des fonctionnalités comme la lecture des articles. Si la prudence est de mise, les rédactions s’intéressent de près à ces technologies et mènent de plus en plus d’expérimentations.Voir plus