L’élection présidentielle américaine est devenue un carnaval de mèmes générés par l’IA

Taylor Swift qui soutient Donald Trump, Kamala Harris en dirigeante communiste, affaire des «fausses foules»… les images générées par l’IA ou les «deepfakes» se multiplient durant la campagne, et restent plus drôles ou ridicules que menaçantes pour la démocratie. Mais jusqu’à quand?Beaucoup craignaient les deepfakes, pensant que les fausses vidéos constitueraient une des menaces principales menant à la désinformation des électrices et électeurs. A 74 jours de la présidentielle américaine, la campagne fait rage sur les réseaux sociaux et les images créées par des IA génératives pullulent. Pour autant, on assiste davantage à une prolifération de mèmes parodiques qu’à de véritables tentatives de tromperies par des vidéos d’hypertrucage. En résumé, l’intelligence artificielle semble plus être un instrument rhétorique qu’un outil de manipulation des masses et, comme l’écrit le média Axios, «oui, nous sommes inondés de conneries, mais il s’agit de conneries reconnaissables, utilisées le plus souvent avec un clin d’œil et susceptibles de tromper uniquement les personnes vraiment crédules». Lire aussi: Grok, le chatbot d’Elon Musk, détonne en créant des images qui mêlent personnalités et violenceVoir plus

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Taylor Swift qui soutient Donald Trump, Kamala Harris en dirigeante communiste, affaire des «fausses foules»… les images générées par l’IA ou les «deepfakes» se multiplient durant la campagne, et restent plus drôles ou ridicules que menaçantes pour la démocratie. Mais jusqu’à quand?

Beaucoup craignaient les deepfakes, pensant que les fausses vidéos constitueraient une des menaces principales menant à la désinformation des électrices et électeurs. A 74 jours de la présidentielle américaine, la campagne fait rage sur les réseaux sociaux et les images créées par des IA génératives pullulent. Pour autant, on assiste davantage à une prolifération de mèmes parodiques qu’à de véritables tentatives de tromperies par des vidéos d’hypertrucage. En résumé, l’intelligence artificielle semble plus être un instrument rhétorique qu’un outil de manipulation des masses et, comme l’écrit le média Axios, «oui, nous sommes inondés de conneries, mais il s’agit de conneries reconnaissables, utilisées le plus souvent avec un clin d’œil et susceptibles de tromper uniquement les personnes vraiment crédules».

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