Pissevin, un an après le quartier peut-il changer ? "Il faut que le quartier soit prêt à dire ce qu'il voit et à balancer." !

Un bureau de police très attendu sera officiellement inauguré le lundi 26 août dans le quartier sensible de Pissevin, à l'ouest de Nîmes. Il ouvrira ses portes au public quelques jours auparavant, le lundi 19 ou le mardi 20 août, en fonction des derniers aménagements qui restent à effectuer dans les locaux. Ce sera quasiment un an jour pour jour après la mort du petit Fayed. L'ouverture, ou plus précisément la réouverture, de ce bureau de police avait été demandée avec insistance par le maire de la ville, Jean-Paul Fournier, après la mort tragique du petit garçon de 10 ans, tué par balles et victime collatérale du trafic de drogue, le 21 août 2023. Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, venu à Nîmes quatre jours après le drame, s'était dit ouvert à la demande du maire. Au total, près de 270 millions d’euros sont investis par l’ensemble des partenaires (Etat, collectivités territoriales et bailleurs sociaux). "La sécurité passera par la guerre contre les délinquants et trafiquants de drogues." Antoine Diers.

Pissevin, un an après le quartier peut-il changer ? "Il faut que le quartier soit prêt à dire ce qu'il voit et à balancer." !
Un bureau de police très attendu sera officiellement inauguré le lundi 26 août dans le quartier sensible de Pissevin, à l'ouest de Nîmes. Il ouvrira ses portes au public quelques jours auparavant, le lundi 19 ou le mardi 20 août, en fonction des derniers aménagements qui restent à effectuer dans les locaux. Ce sera quasiment un an jour pour jour après la mort du petit Fayed. L'ouverture, ou plus précisément la réouverture, de ce bureau de police avait été demandée avec insistance par le maire de la ville, Jean-Paul Fournier, après la mort tragique du petit garçon de 10 ans, tué par balles et victime collatérale du trafic de drogue, le 21 août 2023. Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, venu à Nîmes quatre jours après le drame, s'était dit ouvert à la demande du maire. Au total, près de 270 millions d’euros sont investis par l’ensemble des partenaires (Etat, collectivités territoriales et bailleurs sociaux). "La sécurité passera par la guerre contre les délinquants et trafiquants de drogues." Antoine Diers.