Quelques fragments d'un esprit contrarié

Carlos Diaz Dufoo est invisible, à peine un portrait stylisé en clair-obscur, d'où se démarquent des lunettes bien rondes, un gros front et un air pensif et goguenard. Le Méxicain, suicidé à l'âge de 43 ans le 30 avril 1932, n'a publié qu'un ouvrage de son vivant, pas bien épais, Épigrammes. Pas un grand bavard le Dufoo, rien que de la forme brève, et une manière de cultiver l'ambiguïté.

Quelques fragments d'un esprit contrarié

Carlos Diaz Dufoo est invisible, à peine un portrait stylisé en clair-obscur, d'où se démarquent des lunettes bien rondes, un gros front et un air pensif et goguenard. Le Méxicain, suicidé à l'âge de 43 ans le 30 avril 1932, n'a publié qu'un ouvrage de son vivant, pas bien épais, Épigrammes. Pas un grand bavard le Dufoo, rien que de la forme brève, et une manière de cultiver l'ambiguïté.