Boris Siegenthaler, cofondateur d’Infomaniak, l’infatigable idéaliste

Le cofondateur d’Infomaniak continue de s’investir à 200% pour l’entreprise genevoise, même s’il n’en assure plus la direction exécutive depuis 2020. Il veut assurer son avenir à long termeLe cofondateur d’Infomaniak est un homme occupé. Il faut dire que l’entreprise genevoise spécialisée dans les services d’informatique à la demande fait face à une forte croissance ces dernières années. Alors qu’elle comptait à peine plus d’une centaine de collaborateurs en 2019, elle devrait en dénombrer 300 d’ici à la fin de l’année. Ce n’est donc guère étonnant si Boris Siegenthaler semble avoir l’esprit ailleurs ce matin de novembre en accueillant Le Temps dans les locaux d’Infomaniak, situés à Carouge.Le cadre est à l’image du personnage: haut en couleur. La discussion se déroule dans une salle de réunion décorée selon les codes des diners, ces restaurants typiquement américains. Chaque salle a d’ailleurs un thème défini: bar japonais, garage hard rock, table de pique-nique sous une tente de camping, salon à l’ancienne… «Nous passons beaucoup de temps au bureau, et je suis convaincu que le travail doit aller de pair avec le plaisir», explique Boris Siegenthaler.Voir plus

Boris Siegenthaler, cofondateur d’Infomaniak, l’infatigable idéaliste

Le cofondateur d’Infomaniak continue de s’investir à 200% pour l’entreprise genevoise, même s’il n’en assure plus la direction exécutive depuis 2020. Il veut assurer son avenir à long terme

Le cofondateur d’Infomaniak est un homme occupé. Il faut dire que l’entreprise genevoise spécialisée dans les services d’informatique à la demande fait face à une forte croissance ces dernières années. Alors qu’elle comptait à peine plus d’une centaine de collaborateurs en 2019, elle devrait en dénombrer 300 d’ici à la fin de l’année. Ce n’est donc guère étonnant si Boris Siegenthaler semble avoir l’esprit ailleurs ce matin de novembre en accueillant Le Temps dans les locaux d’Infomaniak, situés à Carouge.

Le cadre est à l’image du personnage: haut en couleur. La discussion se déroule dans une salle de réunion décorée selon les codes des diners, ces restaurants typiquement américains. Chaque salle a d’ailleurs un thème défini: bar japonais, garage hard rock, table de pique-nique sous une tente de camping, salon à l’ancienne… «Nous passons beaucoup de temps au bureau, et je suis convaincu que le travail doit aller de pair avec le plaisir», explique Boris Siegenthaler.Voir plus