Daniel Borel face à Logitech, chronique d’une histoire qui a mal tourné

Mercredi prochain, le cofondateur de la multinationale tentera à nouveau de provoquer le départ de la présidente Wendy Becker. Ces derniers mois, Daniel Borel a multiplié les critiques contre la direction de LogitechMême endroit, même heure, une année plus tard. Ce mercredi 4 septembre, Daniel Borel fera à nouveau face à Wendy Becker. Le cofondateur de Logitech face à la présidente du conseil d’administration, c’est une histoire qui dure depuis douze mois. Le 13 septembre 2023, un coup de tonnerre éclatait lors de l’assemblée des actionnaires de la multinationale, Daniel Borel demandant le départ de la présidente. Sans succès, Wendy Becker étant largement réélue. Mercredi prochain, lors de l’assemblée 2024 des actionnaires, il réitérera sa demande. Ses chances de succès sont toujours quasi nulles. Mais ses arguments se sont étoffés ces douze derniers mois.Daniel Borel l’a répété sans cesse ces derniers mois: son combat, ce n’est pas une lutte contre Logitech. Ni contre sa présidente. Mais pour le bien de l’entreprise qu’il a cofondée en 1981. «Logitech a besoin d’une nouvelle stratégie et d’une réactivité qu’elle a perdue», nous déclarait-il. Selon l’entrepreneur, Wendy Becker «a créé un environnement opaque, contrôlant, politique, autopréservateur et bureaucratique où les procédures légales ont pris le pas sur les affaires. Madame Becker n’est pas la présidente dont Logitech a besoin.»Voir plus

Daniel Borel face à Logitech, chronique d’une histoire qui a mal tourné

Mercredi prochain, le cofondateur de la multinationale tentera à nouveau de provoquer le départ de la présidente Wendy Becker. Ces derniers mois, Daniel Borel a multiplié les critiques contre la direction de Logitech

Même endroit, même heure, une année plus tard. Ce mercredi 4 septembre, Daniel Borel fera à nouveau face à Wendy Becker. Le cofondateur de Logitech face à la présidente du conseil d’administration, c’est une histoire qui dure depuis douze mois. Le 13 septembre 2023, un coup de tonnerre éclatait lors de l’assemblée des actionnaires de la multinationale, Daniel Borel demandant le départ de la présidente. Sans succès, Wendy Becker étant largement réélue. Mercredi prochain, lors de l’assemblée 2024 des actionnaires, il réitérera sa demande. Ses chances de succès sont toujours quasi nulles. Mais ses arguments se sont étoffés ces douze derniers mois.

Daniel Borel l’a répété sans cesse ces derniers mois: son combat, ce n’est pas une lutte contre Logitech. Ni contre sa présidente. Mais pour le bien de l’entreprise qu’il a cofondée en 1981. «Logitech a besoin d’une nouvelle stratégie et d’une réactivité qu’elle a perdue», nous déclarait-il. Selon l’entrepreneur, Wendy Becker «a créé un environnement opaque, contrôlant, politique, autopréservateur et bureaucratique où les procédures légales ont pris le pas sur les affaires. Madame Becker n’est pas la présidente dont Logitech a besoin.»Voir plus